>50% Majorité de log. sociaux HLM |
0% Aucun logement social HLM |
- Pendant la durée des travaux, les circulations, piétonne et des véhicules sont interdites.
- La circulation des véhicules s’effectue à double sens pour les riverains de la rue du Tourniquet jusqu’au n° 10 rue Bion ;
- La circulation de la rue Bion s’effectue depuis la rue du Tourniquet vers la rue Jeanne d’Arc (sens inversé).
- Pendant la durée des travaux, la circulation de la rue Jeanne d’Arc s’effectue depuis la place des Tribunaux vers la rue Bion (sens inversé).
- Pendant la durée des travaux, la circulation de la rue du Parvis Notre-Dame s’effectue depuis la rue Bion vers Grande Rue Notre-Dame (sens inversé).
- Pendant la durée des travaux, la circulation Grande Rue Notre-Dame s’effectue depuis la rue du Parvis Notre-Dame vers la rue Porte Saint-Jean (sens inversé).
- Rue Bion à l’intersection avec la rue Jeanne d’Arc ;
- Rue Taury à l’intersection avec la rue de la Cure.
Le montage des échafaudages s’achèvera fin mai, laissant place au chantier de restauration qui se déroulera par phases successives, jusqu’au début de l’année 2029.
Les 4 phases du chantier
Découvrez l’ambiance chaleureuse et festive de cet état emblématique à travers une exposition, des animations, des produits locaux et des spécialités culinaires.
Avec les traditionnels pôles habitat, gastronomie, produits malins, bien-être, mobilités…, venez explorer les différents halls d’exposition.
L’espace gastronomie sera le lieu de rendez-vous des quatre soirées de la Foire, avec une scène et une programmation musicale.
Environ 50 000 visiteurs sont attendus durant ces 5 jours. Ouverture tous les jours de 10 h à 20 h (restauration et concert jusqu’à 22 h) sauf le dimanche de 10 h à 18 h.
En parallèle de la Foire de Niort, la grande fête foraine se tient du 26 avril au 4 mai de 14h à minuit. Au programme : des manèges à sensations pour les plus téméraires, des attractions douces pour les petits, et une myriade de gourmandises et jeux pour tous les goûts.
- Pendant la durée des travaux, les circulations, piétonne et des véhicules sont interdites.
- La circulation des véhicules s’effectue à double sens pour les riverains de la rue du Tourniquet jusqu’au n° 10 rue Bion ;
- La circulation de la rue Bion s’effectue depuis la rue du Tourniquet vers la rue Jeanne d’Arc (sens inversé).
- Pendant la durée des travaux, la circulation de la rue Jeanne d’Arc s’effectue depuis la place des Tribunaux vers la rue Bion (sens inversé).
- Pendant la durée des travaux, la circulation de la rue du Parvis Notre-Dame s’effectue depuis la rue Bion vers Grande Rue Notre-Dame (sens inversé).
- Pendant la durée des travaux, la circulation Grande Rue Notre-Dame s’effectue depuis la rue du Parvis Notre-Dame vers la rue Porte Saint-Jean (sens inversé).
- Rue Bion à l’intersection avec la rue Jeanne d’Arc ;
- Rue Taury à l’intersection avec la rue de la Cure.
Le montage des échafaudages s’achèvera fin mai, laissant place au chantier de restauration qui se déroulera par phases successives, jusqu’au début de l’année 2029.
Les 4 phases du chantier
Découvrez l’ambiance chaleureuse et festive de cet état emblématique à travers une exposition, des animations, des produits locaux et des spécialités culinaires.
Avec les traditionnels pôles habitat, gastronomie, produits malins, bien-être, mobilités…, venez explorer les différents halls d’exposition.
L’espace gastronomie sera le lieu de rendez-vous des quatre soirées de la Foire, avec une scène et une programmation musicale.
Environ 50 000 visiteurs sont attendus durant ces 5 jours. Ouverture tous les jours de 10 h à 20 h (restauration et concert jusqu’à 22 h) sauf le dimanche de 10 h à 18 h.
En parallèle de la Foire de Niort, la grande fête foraine se tient du 26 avril au 4 mai de 14h à minuit. Au programme : des manèges à sensations pour les plus téméraires, des attractions douces pour les petits, et une myriade de gourmandises et jeux pour tous les goûts.
Deux ressourceries à Niort
Horaires d’ouverture : du mercredi au samedi, de 10h à 18h.
Vous pouvez également déposer vos objets en déchèterie
Objets récupérés : petit mobilier, cadres, bibelots, luminaires, vaisselle, petit électroménager, livres, jeux, linge de maison, vêtements, outillage, etc.
Au sein des ressourceries, les salariés et bénévoles de l’association BAZAR, etc. assurent la sensibilisation au réemploi, en proposant des ateliers en lien avec le réemploi, la réduction des déchets et la consommation responsable. 121 actions de sensibilisations ont été réalisées en 2024. « Ce qui est assez extraordinaire, c’est cet engouement des bénévoles à nos côtés », se réjouit Georges Dussauce, président de l’association. « On compte 21 salariés et 170 bénévoles, qui donnent de leur temps pour donner de la valeur à ces objets ».
Le saviez-vous ?
Dans le cadre de l’élaboration de son programme local de prévention des déchets ménagers et assimilés (PLPDMA), Niort Agglo s’est engagée à soutenir le développement et la professionnalisation des réseaux de réemploi, réparation et réutilisation sur son territoire. Cette action répond à la loi de transition énergétique pour la croissance verte et à la loi anti gaspillage en faveur de l’économie circulaire, qui demandent aux collectivités de développer des solutions de prévention et réutilisation afin de diminuer les déchets enfouis.
Entre 2018 et 2024
Portés par leur victoire 32 à 17 face au Stade Nantais en quart de finale, les Niortais arrivent en confiance. L’équipe est soudée, déterminée, et plus que jamais concentrée sur son objectif : décrocher une place en finale.
Les supporters sont attendus nombreux pour donner de la voix et pousser leur équipe dans les moments clés. L’enjeu est clair : se rapprocher d’un possible accès en Nationale.
Coup d’envoi à 15h15. Tous derrière le NRC pour écrire ensemble une nouvelle page de cette belle aventure !
2 382 arbres, arbustes et arbrisseaux
Il est prévu au total la plantation de 2 382 arbres, arbustes et arbrisseaux pour l'hiver 2025 -2026. 0,5 hectare sera laissé ouvert (clairières) afin de constituer des zones favorables au développement d'une flore et d'une faune spécifiques à ce milieu (insectes, papillons), mais également pour offrir une zone de chasse et de reproduction à certaines espèces de mammifères.
À l'issue du chantier de plantation, Créateur de forêt prendra en charge l'entretien de la parcelle pendant 5 ans. Au terme de ces cinq années, l'objectif est de livrer une parcelle saine, résiliente et résistante qui saura évoluer avec le minimum d'intervention humaine et bénéficiera d’une protection durable de son usage pendant 99 ans via une obligation réelle environnementale (ORE).
Découvrez et participez au projet
Participez à la réunion publique de présentation du futur aménagement animée par Créateur de forêt. Mardi 13 mai, de 18h30 à 21h à La Fabrique, à Port Boinot, 41 boulevard Main. Inscrivez-vous.
Et contribuez au projet à partir de 6¤/m2 de biodiversité/mois.
Plus d'infos : https://www.createurdeforet.fr/projets/niort-79-2025/
Une séance de cinéma leur est offerte par la Ville, les 17 et 18 avril au Moulin du Roc, avec une programmation de longs-métrages d'animation de qualité :
Chaque projection est suivie d’échanges et de témoignages d’élèves qui partagent leurs projets scolaires en faveur de l’environnement.
Les centres socioculturels rejoignent le projet
Nouveauté en 2025, les centres socioculturels du Parc, de Sainte-Pezenne et du centre-ville rejoignent le projet pour participer au 1er concours de films de poche 100 % niortais ! Dans un 1er temps, les jeunes des CSC ont été familiarisés aux 17 objectifs de développement durable (ODD) par la Mission Niort Durable 2030 de la Ville. Puis ils ont été formés par Victor Thiré, réalisateur niortais issu de l’IFFCAM, pour imaginer une histoire, réaliser des prises de vues et monter leur film, avec l’aide de leurs animateurs.
Ces films d’une durée de 2 à 3 minutes, tournés au smartphone, seront projetés sur grand écran et présentés par les apprentis réalisateurs, puis récompensés par un jury local.
« Notre ambition est de toucher un maximum de jeunes à travers ce prisme du cinéma, par le biais de l’émotion, et de voir comment chacun peut s’investir à son échelle en faveur du développement durable. Au fil des ans, on embarque de plus en plus d’élèves et de classes dans ce festival ! On élargit le spectre : on est passé de 2 à 15 établissements partenaires, avec en plus, cette année, des jeunes de centres socioculturels », se réjouit Thibault Hébrard, adjoint au Maire de Niort en charge du développement durable.
Les jeunes des CSC ont entre 8 et 14 ans, ils ont eu 3 mois, de janvier à mars, pour réaliser ces films de poche 100 % niortais, tournés au smartphone. Au total, 4 films seront récompensés par un prix distinct : réalisation, acteurs, scénario et spécial ODD. Ils ont eu le choix de la forme : trois films ont été tournés avec des acteurs, un film d’animation en stop-motion, et un clip de rap.
Pour Sandrine Lopez, responsable du secteur enfance au CSC de Sainte-Pezenne : « Ce projet s’inscrit complètement dans l’un de nos objectifs éducatifs qui est de permettre à ces enfants et adolescents très sensibles à la problématique du développement durable de s’exprimer, en développant leur pouvoir d’agir ».
Nous présentons nos sincères condoléances à ses proches.
Voici l'article que nous avions fait paraitre dans les pages du dernier Vivre à Niort :
Avec une cinquantaine de livres de recettes à son actif, dont le dernier, consacré aux pâtes sorti il y a un mois, Amandine Geers est une spécialiste de la cuisine santé. Ses titres parlent d’eux-mêmes : Je cuisine les plantes sauvages, Je cuisine les fleurs, Mon jardin m’offre l’apéro… pour ne citer que les plus éloquents. Elle-même passionnée de jardinage, elle cultive au naturel deux parcelles sur le Quai de Belle-Île. « La nature et le jardinage sont l’ADN de mon activité, explique-t-elle. On mange 3 fois par jour : ce qu’on ingère a forcément un impact sur notre santé, mais aussi sur l’environnement. » Outre ses livres, Amandine Geers propose des ateliers culinaires pour tout public, à des groupes déjà constitués, et aux particuliers, un jeudi par mois. Dans le cadre de Mon jardin au naturel, elle a axé ses thèmes sur les problématiques écologiques et économiques.
Cependant, la transition énergétique est l’affaire de tous et de nombreuses actions dépendent de la mobilisation de chacun. La Ville de Niort ne travaille pas de manière isolée à la préservation de notre environnement et noue de nombreux partenariat avec les acteurs locaux : le Groupe ornithologique des Deux-Sèvres (GODS) et Deux-Sèvres Nature Environnement, notamment, en matière de protection de la biodiversité. Des missions d’étude et d’inventaires sur les milieux naturels, les espèces animales et végétales leur sont régulièrement confiées : ils ont contribué notamment à la réalisation de l’Atlas de la biodiversité communale.
D’autres associations, tels Vent d’Ouest ou la Société d’horticulture des Deux-Sèvres, ou des particuliers passionnés comme l’auteure de livre de recettes Amandine Geers, sont impliqués dans le programme de sensibilisation des publics : Mon jardin au naturel. Orchestré par la Mission Education à l’environnement de la Ville, celui-ci a évolué depuis sa création en 2019. Niort Agglo l’a élargi au thème de la Maison au naturel, en proposant des ateliers sur l’ensemble de son territoire dont plusieurs à Niort avec Soli-Niort et Bazar, etc.
Cette année, quatre producteurs locaux sont partenaires de cette nouvelle édition :
Le service Proximité et relations aux citoyens se chargera de déposer un arrêté du maire et de réserver des barrières, si vous les rue doivent être fermées à la circulation. Les cartons d'invitation, affiches et kit apéro, seront disponibles entre le 30 avril et le 22 mai inclus à l’accueil de l’Hôtel de Ville.
Rendez-vous samedi 17 mai place de la Brèche.
Les participants devront franchir la ligne d’arrivée avec le contenu du plateau le plus intact possible :
Les spectateurs pourront se poster tout au long du parcours. 30 signaleurs issus de l’association Courir en Deux-Sèvres et des Vies de quartier, équipés de chasubles, assureront la sécurité. Un triporteur habillé en gendarme, de la Cie Les bras cassés, sera chargé de l’animation.
Les deux gagnants de la course, femme et homme, seront invités à participer à l’édition nationale, qui se tiendra en septembre à Limoges. 1er lot : 200¤ et 1 place pour le Puy du Fou. 2e lot : 150¤ et 1 place pour le Futuroscope. 3e lot : 100¤ et 1 place pour le Puy du Fou ou le Futuroscope. Des petits lots sont prévus pour l’ensemble des participants.
Parallèlement, de 14h30 à 18h place du Donjon, un village d’animations gratuit et ouvert à tous sera encadré par les acteurs de la Vie de quartier. Au programme :
« Ça va valoriser nos métiers, l’attractivité de nos métiers, dont les besoins en termes de recrutement sont toujours importants. L’idée est de créer une dynamique et un évènement qui va animer notre vie niortaise », explique Fabrice Girard, président de l’UMIH 79. « On renoue avec cette tradition qui va mettre en valeur la ville. Il n’y a pas de vie de centre-ville sans les cafés et les terrasses. Et c’est la 1ère fois que cette course est organisée en partenariat avec les Vies de quartier ! », se réjouit Philippe Terrassin, adjoint au Maire de Niort en charge des quartiers et de la vie participative. « L’idée de ce parcours est de passer devant un maximum d’établissements qui participent à la course », ajoute Karl Breteau, conseiller municipal délégué aux coopérations citoyennes.
Les inscriptions pour participer à la course s’effectuent auprès de l’UMIH 79 (tél- 05 49 28 06 04), jusqu’au 15 mai. Participation ouverte à toute personne travaillant dans l’hôtellerie-restauration en Deux-Sèvres, majeure comme mineure.
Venez nombreux encourager les participants !
Le numérique au service du passé
Ces parcours s’effectuent pour la plupart à pied de manière autonome depuis un smartphone, il suffit de se laisser guider en cliquant sur des points identifiés pour voir apparaitre une photo et un texte d’explication, fruit d’un travail scientifique coordonné par Dominique Tantin. « Cette mémoire parfois oubliée par nos contemporains a aujourd’hui désormais une forme tangible, accessible à tous, sur un support numérique développé par l’Office de tourisme « Niort Marais Poitevin » indique l’historien soucieux de la transmission du passé.
Prenez date !
Deux rendez-vous sont programmés pour mettre en valeur ces parcours mémoriels :
- Par courrier : Education-inscriptions@mairie-niort.fr
- Par voie postale : mairie de Niort, Direction de l'Education - Service des affaires scolaires - place Martin Bastard CS 58755 - 79 027 Niort.
- En déposant votre dossier dans la boîte à lettres de l'Hôtel administratif en indiquant sur l'enveloppe : Direction de l'éducation, Service des affaires scolaires.
Pour une coexistence harmonieuse en milieu urbain
Ne les nourrissez pas : les aliments humains ne sont pas adaptés à leur alimentation.
Respectez leur espace : privilégiez l’observation à distance sans tenter de les toucher.
Le saviez-vous ?
Le nourrissage des animaux sauvages est interdit depuis 1981 en Deux-Sèvres (article 120 du règlement sanitaire départemental).
Le pigeon, histoire d’une domestication
Espèce sauvage à l’origine, le pigeon biset, domestiqué par l’homme il y a plus de 5000 ans en Égypte antique, était élevé pour sa chair, puis comme pigeon voyageur. Au XVIIe siècle, la France compte 42 000 colombiers, alors signes extérieurs de richesse. Plus le pigeonnier est grand, plus son propriétaire est riche. Fruit de cette histoire, le pigeon biset est aujourd’hui très présent dans les milieux urbains, ce qui n’est pas sans engendrer de nuisances. Le pigeon est opportuniste, s’il trouve en ville de la nourriture en abondance, un site sur lequel se poser et nicher, il le fréquentera en nombre. C’est pourquoi il est interdit de favoriser sa nidification. Les propriétaires ont donc l’obligation de clôturer toutes les ouvertures d’une propriété inoccupée, afin d’éviter de créer des pigeonniers dans des bâtiments abandonnés. La municipalité, si elle assure la salubrité publique au sein de la commune, n’a pas vocation à intervenir sur le domaine privé.
La création de l’ensemble vocal Oriana remonte à 2015 et ne manque pas de souffle. « Nous sommes repartis d’un ch½ur de 9 femmes avant de recruter au fur et à mesure. En petit nombre, ça ne pardonne pas, c’était presque du travail de solistes. Mon objectif était de ne pas dépasser 20 choristes car c’est beaucoup plus facile de travailler ainsi », précise Doriane Chomiac de Sas qui dirige également des ensembles de Paris et de Londres. Et au fil des années, Oriana s’est construit une identité. « Nous cherchons une homogénéité entre les choristes. La vie de groupe est importante. Nous faisons des activités extérieures ce qui permet de souder le ch½ur. »
Si l’ensemble se renouvelle régulièrement, les ténors sont toujours les bienvenus, à bon entendeur !
+ d’infos : samedi 3 mai à 17h à l’abbaye de Celles-sur-Belle et dimanche 4 mai à 17h à l’église Saint-Etienne-du-Port à Niort.
Tél. : 06 74 63 42 19
Réservations : ensemble-vocal-oriana.com
Tarif : 15¤ / 10¤ (étudiants et demandeurs d’emploi) / gratuit moins de 12 ans
Le diagnostic s’est organisé autour deux questions : qu’est-ce que bien manger ? Quels sont les freins à une alimentation saine ? « Nous nous sommes aperçus, témoigne Sophie Lehérissier qui a participé à l’étude, que le sujet était plus complexe que nous pensions, car il ne touche pas qu’au contenu de l’assiette mais aussi aux ressources, à la santé, à la culture, aux différentes politiques, aux situations d’isolement. » Deuxième axe : les freins à une alimentation saine et durable. « Et là, sans surprise, reconnaît Marieke Bonnin, cheffe des services Intervention sociale et accompagnement au CCAS, la difficulté financière est arrivée en premier, mais l’isolement est aussi ressorti très fort des témoignages. »
Le groupe continue de travailler pour proposer aux élus des projets susceptibles de répondre aux problématiques qui ont émergé durant cette phase de diagnostic. Des pistes se dessinent : cultiver ses légumes dans un jardin solidaire, organiser des collectes d’invendus, créer un restaurant solidaire, etc. Les projets seront présentés au début de l’été.
Sabine et Jean-Christophe, 26 et 23 ans, sont venus se renseigner et choisir entre les différentes propositions celle qui leur conviendra le mieux. « Nous sommes intéressés par trois associations particulièrement. Ce premier contact sera primordial pour déterminer où ira notre engagement. » Sans emploi, ils voient tous les deux dans cette démarche des possibilités de rencontres et d’acquisitions de nouvelles compétences. Pour Roselyne, à la retraite, ce sera la Croix rouge ou le Secours populaire. « Je suis très active par ailleurs, mais je souhaite me rendre utile quelques heures par semaine à proximité de mon domicile. ». Pour David, actuellement en emploi, le forum est l’occasion de renouer avec le bénévolat. « Je me dis qu’il est utile de donner quelques heures de mon temps, le samedi par exemple. »
Aux commandes du VBPN depuis juillet 2024, Valérie Gibouin a fait sienne les valeurs du club : compétition, formation et convivialité. « Le club compte 300 licenciés et aligne 32 équipes avec une parité exemplaire. Notre école de volley démarre dès 4 ans et nous permet de sans cesse renouveler le vivier sportif. Nous formons les jeunes en leur laissant toujours une chance de s’intégrer. La confiance, c’’est la marque de fabrique du club ! » Le club dispose de 2 salles d’entraînement à Sainte-Pezenne et à Barbusse ce qui permet une rotation plus aisée. Côté compétition, l’équipe féminine et masculine sont dans le haut du panier. « Pour la saison prochaine, l’équipe féminine et masculine seront en Nationale 2. Ce sont les locomotives du club mais aussi un exemple pour tous nos licenciés en termes de rigueur et de volonté. »
Une actu brûlante
Le 20 avril, c’est volley assis
Le club organise un tournoi de volley assis, une discipline handisport qui se joue sur un terrain plus petit et avec un filet plus bas. Les joueur(se)s sont assis à même le sol et se déplacent en glissant avec l’aide de leurs membres. Toutefois, si ce sport s’adresse aux personnes atteintes de handicap physique, le volley assis permet d'encourager la mixité en permettant aux personnes handicapées et aux valides de pratiquer ensemble.
Le 16 mai, c’est volley nocturne
Le gymnase de la Venise Verte accueillera un tournoi à 4 contre 4 mixte jusqu’à minuit pour une nuit du volley. Une animation voulue par les plus jeunes du club. Restauration prévue sur place.
Le 31 mai et 1er juin, c’est Soft Volley
Importé du Japon, le Soft Volley est une activité ludique et accessible à un large public, notamment pour les loisirs, les seniors et les parfaits débutants. Le Soft Volley se joue en équipe de 4. Les règles sont similaires à celles du volley-ball mais avec un terrain plus petit, un filet plus bas et un gros ballon léger et souple.
En juin, c’est Niort sur beach
Le beach park de Sainte-Pezenne permet la pratique de différentes disciplines et favorise l’accès à la pratique sportive de tous les publics. Il s’agit d’un équipement de proximité inédit sur le territoire de l’Agglo et même à l’échelle du département.
D’une superficie de 2 000 m2, l’ensemble se compose de 6 terrains de beach-volley. Ce projet a été initié par le VBPN, avec le soutien de la Ville de Niort et de l’Agence nationale du sport. Le 7 et 8 juin, un challenge sera organisé suivi d’un tournoi inter-entreprises le 12 juin.
Créé en 1981, le Groupe ornithologique des Deux-Sèvres a pour objectif l’étude et la protection des oiseaux sauvages.
Le GODS joue un rôle crucial dans la conservation, l’étude et la protection des oiseaux sauvage dans les Deux-Sèvres. L’association participe activement à des actions de suivi et de protection des espèces, telles que l’observation, le comptage, la construction de nichoirs et la mise en place d’outils de protection des espèces en voie de disparition. Elle collabore également avec la Ville de Niort sur des questions de biodiversité, notamment pour des inventaires et des plans de gestion. Elle travaille aussi en en partenariat avec le CNRS, l’université de La Rochelle et celle de Lausanne plus particulièrement sur l’étude de la chouette effraie. « Nous travaillons en bonne intelligence avec les acteurs locaux, notamment les agriculteurs, pour protéger les espèces les plus menacées comme la pie grièche à tête rousse », explique François Teyssié, directeur de l’association. Le GODS accompagne aussi les entreprises dans leur démarche de labellisation Espace Natur’Ailes.
Cette expertise scientifique s’accompagne d’actions de sensibilisation et de formation de tous les publics. Dans ce cadre, il participe chaque année au programme Mon jardin au naturel.
6 septembre : accueillir la biodiversité au jardin (en partenariat avec la Société d’horticulture).
L’association compte 200 adhérents dont 50 membres très actifs. Elle propose deux à trois conférences et des ateliers par mois, tout au long de l’année. Elle organise, en outre, 3 temps forts ouverts à tous : un troc plantes tous les 2e dimanches d’avril, Printemps aux jardins (cette année les 19 et 20 avril) et Automne aux jardins. Elle participe aussi aux évènements nationaux ou organisés par la Ville de Niort : Fête de la Nature et Rendez-vous aux jardins, notamment.
Quelle est la place du développement durable dans les politiques menées par la Ville de Niort ?
Pour la première fois depuis 2020, il y a un élu en charge du développement durable et de l’urbanisme. Cela veut dire que tous les projets de la Ville – aménagement, bâtimentaires, mobilité, voirie, etc. - passent par le prisme du développement durable qui est la colonne vertébrale de la politique municipale. C’est une valeur portée par tous mes collègues élus, chacun dans sa délégation.
Pourquoi la Ville a-t-elle développé d’étroits partenariats avec les associations environnementales locales ?
Nos partenaires sont essentiels car ils apportent une expertise qui vient s’ajouter à celle des services municipaux. Ils sont porteurs de connaissances pointues dans leurs domaines, et ils ont aussi leur propre public, ce qui nous permet d’élargir notre cible. Or plus nous touchons de personnes, plus nous avons un impact fort et positif sur la collectivité. La Ville montre l’exemple en ce qui concerne les bonnes pratiques, et la sensibilisation des publics est un volet primordial pour être réactif face aux enjeux environnementaux actuels.
Comment le programme Mon jardin au naturel est-il construit ?
Il est coconstruit avec le service Éducation à l’environnement. Chaque association fait remonter les questions et sujets qui peuvent intéresser le public sur les problématiques environnementales. D’ailleurs, les propositions d’ateliers ont évolué depuis 2019. Elles conservent la base – le travail du jardin – pour les novices, mais prennent en compte les aspirations d’un public désormais plus conscient des enjeux. Par exemple, cuisiner des recettes saines ou comment éviter les produits nocifs dans les habitations. On avance ensemble, petit à petit, en proposant chaque année d’aller un peu plus loin.
Jean-Yoan a été l’un des premiers locataires. À 20 ans, le jeune Mauricien, employé à la plateforme logistique du Centre hospitalier après des études à Niort, se trouve chanceux pour son entrée dans la vie active. « Je vivais chez ma s½ur. Il n’y avait pas d’appartement libre dans une résidence proche de l’hôpital aussi on m’a indiqué cette toute nouvelle structure. » Il loue un T1 qui bénéficie du soleil durant toute la matinée. Il apprécie l’autonomie dont il dispose désormais. « On rentre et on sort comme on veut ; on peut inviter des amis jusqu’à 22h en semaine et 23h30 le week-end. Il y a même la possibilité d’héberger une personne contre un petit supplément de 10 ¤ par nuit. »
Arrivée plus récemment, Elia, 18 ans, prépare un BTS Assurances au Campus des métiers et dans une Mutuelle. « Originaire de Saint-Laurs, j’avais 1h30 de bus pour venir travailler, donc il était plus pratique de m’installer à Niort. En outre, j’apprécie d’avoir de l’indépendance, en toute sécurité car nous sommes bien encadrés. En cas de pépin, nous pouvons faire appel à la SEMIE, dont les bureaux se trouvent au rez-de-chaussée, il y a un service de sécurité toutes les nuits et le week-end 24h sur 24 ; les parties communes sont sous vidéoprotection. » Les jeunes peuvent également compter sur Myriam qui assure l’animation et résout les petits soucis. Avec le retour des beaux jours, ils pourront profiter des terrasses collectives et du vaste patio végétalisé qui ajoutent à la convivialité du site.
Des tarifs réglementés
Les loyers de la résidence sont très accessibles : à partir de 32,91 ¤ après versement des APL, charges comprises : eau, électricité, internet et chauffage.
Résidence Joséphine Baker, 1 rue Suzanne Lacore, à Niort.
Tout le monde est invité à participer. L’édition de cette année, la 43e, met en avant la diversité musicale en réunissant des talents amateurs et professionnels sur une trentaine de lieux, dont certains équipés de véritables scènes.
La coordination est assurée par le service événements de la Ville, qui gère la logistique, la sécurité et l’installation des espaces. Les artistes pourront dès 15h récupérer leurs badges sur l’esplanade de la République et accéder aux emplacements prévus. À partir de 18h, le périmètre sera fermé à la circulation pour garantir la sécurité de tous.
Vous souhaitez participez ? complétez le formulaire ci-dessous.
Communes : Aiffres , Bessines , Chauray , Coulon , Échiré , Magné , Saint-Gelais , Saint-Rémy , Saint-Symphorien , Sciecq , Vouillé
Quartiers de la commune : Saint-Liguaire , Centre-ville , Nord , Souché , Champclairot - Goise - Champommier , Saint-Florent , Clou Bouchet , Tour Chabot - Gavacherie , Ste-Pezenne