>20 Très commerçant |
<0,1 Pas de commerçants |
Pour une coexistence harmonieuse en milieu urbain
Ne les nourrissez pas : les aliments humains ne sont pas adaptés à leur alimentation.
Respectez leur espace : privilégiez l’observation à distance sans tenter de les toucher.
Le saviez-vous ?
Le nourrissage des animaux sauvages est interdit depuis 1981 en Deux-Sèvres (article 120 du règlement sanitaire départemental).
Le pigeon, histoire d’une domestication
Espèce sauvage à l’origine, le pigeon biset, domestiqué par l’homme il y a plus de 5000 ans en Égypte antique, était élevé pour sa chair, puis comme pigeon voyageur. Au XVIIe siècle, la France compte 42 000 colombiers, alors signes extérieurs de richesse. Plus le pigeonnier est grand, plus son propriétaire est riche. Fruit de cette histoire, le pigeon biset est aujourd’hui très présent dans les milieux urbains, ce qui n’est pas sans engendrer de nuisances. Le pigeon est opportuniste, s’il trouve en ville de la nourriture en abondance, un site sur lequel se poser et nicher, il le fréquentera en nombre. C’est pourquoi il est interdit de favoriser sa nidification. Les propriétaires ont donc l’obligation de clôturer toutes les ouvertures d’une propriété inoccupée, afin d’éviter de créer des pigeonniers dans des bâtiments abandonnés. La municipalité, si elle assure la salubrité publique au sein de la commune, n’a pas vocation à intervenir sur le domaine privé.
La création de l’ensemble vocal Oriana remonte à 2015 et ne manque pas de souffle. « Nous sommes repartis d’un ch½ur de 9 femmes avant de recruter au fur et à mesure. En petit nombre, ça ne pardonne pas, c’était presque du travail de solistes. Mon objectif était de ne pas dépasser 20 choristes car c’est beaucoup plus facile de travailler ainsi », précise Doriane Chomiac de Sas qui dirige également des ensembles de Paris et de Londres. Et au fil des années, Oriana s’est construit une identité. « Nous cherchons une homogénéité entre les choristes. La vie de groupe est importante. Nous faisons des activités extérieures ce qui permet de souder le ch½ur. »
Si l’ensemble se renouvelle régulièrement, les ténors sont toujours les bienvenus, à bon entendeur !
+ d’infos : samedi 3 mai à 17h à l’abbaye de Celles-sur-Belle et dimanche 4 mai à 17h à l’église Saint-Etienne-du-Port à Niort.
Tél. : 06 74 63 42 19
Réservations : ensemble-vocal-oriana.com
Tarif : 15¤ / 10¤ (étudiants et demandeurs d’emploi) / gratuit moins de 12 ans
Le diagnostic s’est organisé autour deux questions : qu’est-ce que bien manger ? Quels sont les freins à une alimentation saine ? « Nous nous sommes aperçus, témoigne Sophie Lehérissier qui a participé à l’étude, que le sujet était plus complexe que nous pensions, car il ne touche pas qu’au contenu de l’assiette mais aussi aux ressources, à la santé, à la culture, aux différentes politiques, aux situations d’isolement. » Deuxième axe : les freins à une alimentation saine et durable. « Et là, sans surprise, reconnaît Marieke Bonnin, cheffe des services Intervention sociale et accompagnement au CCAS, la difficulté financière est arrivée en premier, mais l’isolement est aussi ressorti très fort des témoignages. »
Le groupe continue de travailler pour proposer aux élus des projets susceptibles de répondre aux problématiques qui ont émergé durant cette phase de diagnostic. Des pistes se dessinent : cultiver ses légumes dans un jardin solidaire, organiser des collectes d’invendus, créer un restaurant solidaire, etc. Les projets seront présentés au début de l’été.
Pour une coexistence harmonieuse en milieu urbain
Ne les nourrissez pas : les aliments humains ne sont pas adaptés à leur alimentation.
Respectez leur espace : privilégiez l’observation à distance sans tenter de les toucher.
Le saviez-vous ?
Le nourrissage des animaux sauvages est interdit depuis 1981 en Deux-Sèvres (article 120 du règlement sanitaire départemental).
Le pigeon, histoire d’une domestication
Espèce sauvage à l’origine, le pigeon biset, domestiqué par l’homme il y a plus de 5000 ans en Égypte antique, était élevé pour sa chair, puis comme pigeon voyageur. Au XVIIe siècle, la France compte 42 000 colombiers, alors signes extérieurs de richesse. Plus le pigeonnier est grand, plus son propriétaire est riche. Fruit de cette histoire, le pigeon biset est aujourd’hui très présent dans les milieux urbains, ce qui n’est pas sans engendrer de nuisances. Le pigeon est opportuniste, s’il trouve en ville de la nourriture en abondance, un site sur lequel se poser et nicher, il le fréquentera en nombre. C’est pourquoi il est interdit de favoriser sa nidification. Les propriétaires ont donc l’obligation de clôturer toutes les ouvertures d’une propriété inoccupée, afin d’éviter de créer des pigeonniers dans des bâtiments abandonnés. La municipalité, si elle assure la salubrité publique au sein de la commune, n’a pas vocation à intervenir sur le domaine privé.
La création de l’ensemble vocal Oriana remonte à 2015 et ne manque pas de souffle. « Nous sommes repartis d’un ch½ur de 9 femmes avant de recruter au fur et à mesure. En petit nombre, ça ne pardonne pas, c’était presque du travail de solistes. Mon objectif était de ne pas dépasser 20 choristes car c’est beaucoup plus facile de travailler ainsi », précise Doriane Chomiac de Sas qui dirige également des ensembles de Paris et de Londres. Et au fil des années, Oriana s’est construit une identité. « Nous cherchons une homogénéité entre les choristes. La vie de groupe est importante. Nous faisons des activités extérieures ce qui permet de souder le ch½ur. »
Si l’ensemble se renouvelle régulièrement, les ténors sont toujours les bienvenus, à bon entendeur !
+ d’infos : samedi 3 mai à 17h à l’abbaye de Celles-sur-Belle et dimanche 4 mai à 17h à l’église Saint-Etienne-du-Port à Niort.
Tél. : 06 74 63 42 19
Réservations : ensemble-vocal-oriana.com
Tarif : 15¤ / 10¤ (étudiants et demandeurs d’emploi) / gratuit moins de 12 ans
Le diagnostic s’est organisé autour deux questions : qu’est-ce que bien manger ? Quels sont les freins à une alimentation saine ? « Nous nous sommes aperçus, témoigne Sophie Lehérissier qui a participé à l’étude, que le sujet était plus complexe que nous pensions, car il ne touche pas qu’au contenu de l’assiette mais aussi aux ressources, à la santé, à la culture, aux différentes politiques, aux situations d’isolement. » Deuxième axe : les freins à une alimentation saine et durable. « Et là, sans surprise, reconnaît Marieke Bonnin, cheffe des services Intervention sociale et accompagnement au CCAS, la difficulté financière est arrivée en premier, mais l’isolement est aussi ressorti très fort des témoignages. »
Le groupe continue de travailler pour proposer aux élus des projets susceptibles de répondre aux problématiques qui ont émergé durant cette phase de diagnostic. Des pistes se dessinent : cultiver ses légumes dans un jardin solidaire, organiser des collectes d’invendus, créer un restaurant solidaire, etc. Les projets seront présentés au début de l’été.
Sabine et Jean-Christophe, 26 et 23 ans, sont venus se renseigner et choisir entre les différentes propositions celle qui leur conviendra le mieux. « Nous sommes intéressés par trois associations particulièrement. Ce premier contact sera primordial pour déterminer où ira notre engagement. » Sans emploi, ils voient tous les deux dans cette démarche des possibilités de rencontres et d’acquisitions de nouvelles compétences. Pour Roselyne, à la retraite, ce sera la Croix rouge ou le Secours populaire. « Je suis très active par ailleurs, mais je souhaite me rendre utile quelques heures par semaine à proximité de mon domicile. ». Pour David, actuellement en emploi, le forum est l’occasion de renouer avec le bénévolat. « Je me dis qu’il est utile de donner quelques heures de mon temps, le samedi par exemple. »
Aux commandes du VBPN depuis juillet 2024, Valérie Gibouin a fait sienne les valeurs du club : compétition, formation et convivialité. « Le club compte 300 licenciés et aligne 32 équipes avec une parité exemplaire. Notre école de volley démarre dès 4 ans et nous permet de sans cesse renouveler le vivier sportif. Nous formons les jeunes en leur laissant toujours une chance de s’intégrer. La confiance, c’’est la marque de fabrique du club ! » Le club dispose de 2 salles d’entraînement à Sainte-Pezenne et à Barbusse ce qui permet une rotation plus aisée. Côté compétition, l’équipe féminine et masculine sont dans le haut du panier. « Pour la saison prochaine, l’équipe féminine et masculine seront en Nationale 2. Ce sont les locomotives du club mais aussi un exemple pour tous nos licenciés en termes de rigueur et de volonté. »
Une actu brûlante
Le 20 avril, c’est volley assis
Le club organise un tournoi de volley assis, une discipline handisport qui se joue sur un terrain plus petit et avec un filet plus bas. Les joueur(se)s sont assis à même le sol et se déplacent en glissant avec l’aide de leurs membres. Toutefois, si ce sport s’adresse aux personnes atteintes de handicap physique, le volley assis permet d'encourager la mixité en permettant aux personnes handicapées et aux valides de pratiquer ensemble.
Le 16 mai, c’est volley nocturne
Le gymnase de la Venise Verte accueillera un tournoi à 4 contre 4 mixte jusqu’à minuit pour une nuit du volley. Une animation voulue par les plus jeunes du club. Restauration prévue sur place.
Le 31 mai et 1er juin, c’est Soft Volley
Importé du Japon, le Soft Volley est une activité ludique et accessible à un large public, notamment pour les loisirs, les seniors et les parfaits débutants. Le Soft Volley se joue en équipe de 4. Les règles sont similaires à celles du volley-ball mais avec un terrain plus petit, un filet plus bas et un gros ballon léger et souple.
En juin, c’est Niort sur beach
Le beach park de Sainte-Pezenne permet la pratique de différentes disciplines et favorise l’accès à la pratique sportive de tous les publics. Il s’agit d’un équipement de proximité inédit sur le territoire de l’Agglo et même à l’échelle du département.
D’une superficie de 2 000 m2, l’ensemble se compose de 6 terrains de beach-volley. Ce projet a été initié par le VBPN, avec le soutien de la Ville de Niort et de l’Agence nationale du sport. Le 7 et 8 juin, un challenge sera organisé suivi d’un tournoi inter-entreprises le 12 juin.
Jean-Yoan a été l’un des premiers locataires. À 20 ans, le jeune Mauricien, employé à la plateforme logistique du Centre hospitalier après des études à Niort, se trouve chanceux pour son entrée dans la vie active. « Je vivais chez ma s½ur. Il n’y avait pas d’appartement libre dans une résidence proche de l’hôpital aussi on m’a indiqué cette toute nouvelle structure. » Il loue un T1 qui bénéficie du soleil durant toute la matinée. Il apprécie l’autonomie dont il dispose désormais. « On rentre et on sort comme on veut ; on peut inviter des amis jusqu’à 22h en semaine et 23h30 le week-end. Il y a même la possibilité d’héberger une personne contre un petit supplément de 10 ¤ par nuit. »
Arrivée plus récemment, Elia, 18 ans, prépare un BTS Assurances au Campus des métiers et dans une Mutuelle. « Originaire de Saint-Laurs, j’avais 1h30 de bus pour venir travailler, donc il était plus pratique de m’installer à Niort. En outre, j’apprécie d’avoir de l’indépendance, en toute sécurité car nous sommes bien encadrés. En cas de pépin, nous pouvons faire appel à la SEMIE, dont les bureaux se trouvent au rez-de-chaussée, il y a un service de sécurité toutes les nuits et le week-end 24h sur 24 ; les parties communes sont sous vidéoprotection. » Les jeunes peuvent également compter sur Myriam qui assure l’animation et résout les petits soucis. Avec le retour des beaux jours, ils pourront profiter des terrasses collectives et du vaste patio végétalisé qui ajoutent à la convivialité du site.
Des tarifs réglementés
Les loyers de la résidence sont très accessibles : à partir de 32,91 ¤ après versement des APL, charges comprises : eau, électricité, internet et chauffage.
Résidence Joséphine Baker, 1 rue Suzanne Lacore, à Niort.
Tout le monde est invité à participer. L’édition de cette année, la 43e, met en avant la diversité musicale en réunissant des talents amateurs et professionnels sur une trentaine de lieux, dont certains équipés de véritables scènes.
La coordination est assurée par le service événements de la Ville, qui gère la logistique, la sécurité et l’installation des espaces. Les artistes pourront dès 15h récupérer leurs badges sur l’esplanade de la République et accéder aux emplacements prévus. À partir de 18h, le périmètre sera fermé à la circulation pour garantir la sécurité de tous.
Vous souhaitez participez ? complétez le formulaire ci-dessous.
Au centre hospitalier de Niort où un agent du service état-civil tient une permanence au bu- reau des admissions de la maternité : le lundi toute la journée et les matins du mardi au ven- dredi. Les déclarations de naissance peuvent se faire aussi à l’hôtel administratif toujours dans un délai de 5 jours.
Exclusivement à la conservation des cimetières auprès du service Affaires funéraires. Toutes les démarches liées à une inhumation ou une cré- mation sont ainsi regroupées en un seul lieu, pour les familles et les pompes funèbres.
Conservation des cimetières
31 rue de Bellune - 05 49 04 10 49
lundi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h mardi de 10h à 17h
mercredi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h.
Au total, il est prévu la plantation de plus de 2 300 arbres, arbustes et arbrisseaux pour l’hiver 2025 - 2026.
Pour améliorer la cohérence de l’offre événementielle et du tourisme d’affaires, la SO SPACE exploitera et proposera la commercialisation de deux sites complémentaires offrant une offre globale à l’échelle de la Ville et du territoire. L’exploitant pourra pro- poser une offre à la carte mais ciblée selon les publics avec des politiques tarifaires cohérentes.
La délégation comporte un volet investissements important 12 M d’euros (portés à parité par la SO SPACE comme maitre d’ouvrage et par la Ville en subvention d’investissement) pour réhabiliter le Parc des ex- positions avec la rénovation complète des Halles des Peupliers et de la Sèvre, la démolition-reconstruction du Pavillon des Colloques et la démolition de la Halle Emile Bèche.
Ces investissements visent à adapter le site aux nouveaux besoins des organisateurs de salons mais aussi à le transformer pour y intégrer des ambitions de développement durable avec une place importante faite à la nature (plantations, développement de la biodiversité), aux mobilités douces, à l’efficacité énergétique des bâtiments rénovés.
Un contrat multisites intégrant l’Acclameur (sans la salle d’escalade et le dojo) et ses parkings, le club Acclameur, le Parc des expositions de Noron.
Une entrée en vigueur au 1er mai 2025 pour une durée de 15 ans (liée à la réalisation d’investissement), soit jusqu’au 30 avril 2040.
La réalisation d’investissements à hauteur de 12 M d’euros HT sous maitrise d’ouvrage de la SO Space ou de sa filiale (SO SPACE Evènements) avec une prise en charge à parité par la Ville de Niort sous forme de subvention d’investissement).
Des tarifs qui seront approuvés par le conseil municipal.
Une compensation forfaitaire pour contraintes de services publics (mises à disposition gracieuses d’espaces et de matériel pour les évènements Ville de Niort, accueil et tarification spécifiques des activités associatives, sujétions particulières de programmation, prestations particulières liés aux événements sportifs etc...
L’ensemble de la dette est classifié 1-A (Charte Gissler) soit non risqué.
Tous budgets confondus, le taux moyen d’intérêts de la dette était de 2,38 % en 2024 contre 2,35 % en 2023. Le taux moyen d’intérêts du budget stationnement est pas- sé de 4,34 % en 2017 à 2,84 % en 2018 après le réaménagement des emprunts du Crédit Agricole.
La capacité de désendettement de la Ville de Niort est de 3,6 années au 31/12/2024 et était de 5,7 années au 31/12/2023.
Depuis 2014, la Ville poursuit une politique de soutenabilité de sa dette au regard de ses capacités de remboursement. Ces dernières années, elle avait stabilisé le niveau d’en- cours en essayant d’avoir un solde de flux d’encaissement et de décaissement proche de zéro.
Le service Proximité et relations aux citoyens se chargera pour vous de déposer un arrêté du maire et de réserver des barrières, si vous devez fermer votre rue à la circulation. Vos cartons d'invitation, affiches et kit apéro, seront disponibles entre le 30 avril et le 22 mai inclus à l’accueil de l’Hôtel de Ville.
Service Proximité et relations aux citoyens : 05 49 78 78 98.
Ils étaient 40, dont 28 jeunes de 15 à 25 ans, à participer à la première soirée qui s’est tenue fin janvier au CAMJI consacrée à « La place des jeunes dans l’espace public ». 14 propositions d’actions en sont ressorties. Louis Rosier, 15 ans, y était. « J’ai trouvé très intéressant qu’on s’interroge sur les jeunes et qu’on leur laisse la parole. On a présenté un projet pour proposer davantage d’animations destinées aux jeunes, on a parlé aussi de sécurité et de l’éclairage nocturne en ville. » Très impliqué, Louis va « à toutes les Soirées du Lab’. J’y étais avec ma grand-mère, c’est intergénérationnel », constate-t-il.
32 personnes ont participé à la soirée du 18 février « Manger, bouger dans l’espace public », qui s’est déroulée à la patinoire de Niort Agglo. 8 propositions d’actions ont été imaginées, telles que l’organisation d’un pique-nique géant ou d’une randonnée gourmande.
Une concertation ouverte à tous
Le Lab’ est une démarche qui vise à mettre en place des actions proposées et portées par les habitants afin d’améliorer le cadre de vie dans les quartiers. C’est une concertation publique ouverte à tous les habitants.
Prochaine soirée du Lab’, le 15 avril à 18h30 à la Villa Pérochon : « Se parler dans l’espace public ».
Vous souhaitez participer aux Soirées du Lab’ ? Contactez le service Proximité et relations aux citoyens : vie-participative@mairie-niort.fr. Tél- 05 49 78 78 98.
« Ceci a été possible grâce à la mobilisation de nombreux partenaires dont les collectivités territoriales du G8 des Deux-Sèvres, pour lesquelles l’effort financier a été important », a tenu à souligner Jérôme Baloge, Président de Niort Agglo. Inscrit au programme Action c½ur de Ville, ce projet structurant fait partie intégrante de la politique communautaire de développement de l’apprentissage et de l’enseignement supérieur. « Ce Campus des métiers à la pointe de la modernité va nous permettre de renforcer encore l’attractivité de notre territoire en encourageant les jeunes à venir y étudier, et d’atteindre notre objectif de 5000 étudiants à l’horizon 2030. »
Au programme : viande parthenaise, huîtres de Marennes-Oléron, tourteau fromager, charcuterie, fromages de chèvre, miel… Un concentré de terroir niortais à deux pas des studios télé, avec l’ambiance du marché presque intacte. Les stands ont vite attiré les salariés de TF1, venus échanger avec les exposants et goûter aux spécialités locales.
Pour les producteurs, l’événement est autant une fierté qu’un défi logistique. Tous sont partis dans la nuit, motivés par l’envie de faire rayonner leur savoir-faire au-delà de leur région. Et le pari est réussi : produits dégustés, stocks allégés, échanges enthousiastes… sans parler du petit passage remarqué dans le 13 h du jour.
Au final, un joli coup de projecteur sur un marché qui a su garder son authenticité, même loin de chez lui.
Niort le plus beau marché de France 2024 s'installe à TF1 le lundi 24 mars de 11h30 à 14h30 (*)
Chaque ville qui remporte le concours du plus Beau Marché de France de TF1 doit réaliser un défi afin de lancer l’édition suivante. Niort a pris le pari à l'antenne en juin dernier, de monter l’esprit des Halles de Niort au c½ur de TF1 pour faire découvrir aux équipes du 13H quelques merveilleux produits, nos commerçants (10 commerces représentés) et notre territoire. Cette organisation conviviale et originale se déroulera lundi 24 prochain en bas de la Tour TF1.
(*)Le tournage sera effectué en direct lundi 24 mars et la diffusion le lendemain au journal de 13h à l’occasion du lancement de la saison 2025 du Plus beau marché de France.
Le thème du jeu est décliné sous toutes ses formes pendant toute la semaine : ateliers Snoezelen pour jouer avec les 5 sens, manipulations d’objets, baby-yoga pour jouer avec son corps, cuisine pour jouer à goûter, divers ateliers lecture et dessin, accueil chaque jour en musique et, vendredi, boum déguisée pour clore l’évènement. « Les enfants ressentent l’enthousiasme des équipes qui ont concocté ce programme avec beaucoup de créativité. L’ambiance est réellement festive dès l’accueil, ajoute Rose-Marie Nieto, adjointe au maire en charge de la petite enfance. Cette semaine est aussi une mise en lumière du travail formidable réalisé par les agents à la crèche et à la halte-garderie. »
La programmation
Mercredi 25 juin : l’électro swing de Parov Stelar donnera le ton. Le DJ autrichien avec son approche novatrice de la production musicale et sa fusion non conventionnelle des genres va enflammer le festival. Et en ouverture, la voix singulière de Faada Freddy laissera s’exprimer sans réserve son tropisme pour une soul capiteuse et ultramélodique.
Jeudi 26 juin : en ouverture, à ne pas manquer, Mica Millar, l’une des voix les plus captivantes de la soul britannique contemporaine. Puis ce sera au tour de Meute d’enchanter la foule. La fanfare allemande fait le buzz à travers le monde depuis 2016. Avec sa combinaison explosive de techno hypnotique et de musique de fanfare explosive, la soirée promet d’être chaude !
Vendredi 27 juin : le festival se clôturera en apothéose avec les présences exceptionnelles de Goran Bregovic et Dee Dee Bridgewater. Le premier est celui qui a imposé le genre « Balkan Music ». Indissociable des films d’Emir Kusturica, dont il a composé la majorité des musiques, le Bosniaque sillonne toutes les scènes du monde depuis plus de 25 ans avec ses cuivres gitans et les voix bulgares de son orchestre. Quant à Dee Dee Bridgewater, l’Américaine, considérée comme l'une des chanteuses de jazz les plus importantes de sa génération, va envoûter Pré-Leroy avec sa voix puissante et expressive. Celle qui mélange le jazz, le blues, la soul et la musique africaine puise son inspiration du côté d’Ella Fitzgerald et Billie Holiday.
La scène du Village (en accès libre) ne sera pas en reste grâce au groove de Ludivine Issambourg, The Hookup, mené par la Niortaise Géraldine Laurent, ou encore Django! de Baptiste Herbin et bien d'autres !
Cette année, 6 photographes originaires d’Espagne, Pays-Bas, Royaume-Uni et France ont été choisis. Ils seront supervisés durant leur résidence de 20 jours par la photographe canadienne Kourtney Roy, invitée d’honneur. En parallèle, la Villa Pérochon propose de découvrir les ½uvres d’autres artistes émergents français et internationaux, mêlant expositions collectives et individuelles.
Les artistes présents en résidence
Joan Alvado – Espagne ; Jasper Cao Yi – Chine/Pays-Bas ; Mélanie Dornier – France ; Melody Garreau – France/Royaume-Uni ; Henri Kisielewski – France/Royaume-Uni ; Tanguy Müller – France.
Les autres expositions
Kourtney Roy / Villa Pérochon
La Villa Pérochon consacre une exposition transversale à l’invitée d’honneur dont « Lost Paradise », ½uvre lauréate du 6e prix Swiss Life à 4 mains créée en duo avec le compositeur Mathias Delplanque.
Orianne Ciantar Olive / Pavillon Grappelli
Une installation inédite intitulée « Un grand silence » qui propose une expérience visuelle, immersive et métaphysique au c½ur des dommages collatéraux des conflits contemporains.
La jeune photographie belge / Le Séchoir – Port Boinot et Le Pilori
L’exposition Belgomania met en avant une génération qui interroge le médium de la photographie, les sciences naturelles et la technologie face aux enjeux environnementaux contemporains.
PODA, la Petite ¼uvre d’art / Maison Gaufrette - 25 rue du 14 Juillet
Présentée dans la plus petite maison de Niort, une collection de plusieurs centaines d’½uvres propose la découverte d’un nouveau format photographie, permettant à chacun de s’emparer de cet objet visuel.
Jeanne Lucas / Jardin de la Villa Pérochon
Carte blanche confiée à la photographe niortaise par Philippe Guionie d’un cycle de 3 ans. Une exposition inédite sur la Jeunesse niortaise.
Les temps forts
Son bac L, passé au lycée Jean Macé, en poche, Jeanne vise l’école des Gobelins à Paris. Malheureusement, elle n’obtient pas l’oral. Elle prend alors la direction de l’ETPA à Toulouse où elle rencontre un certain Philippe Guionie. Elle y découvre la vie étudiante et le savoir-faire technique. Un an après, elle retente sa chance à Paris et intègre l’école de ses rêves. Pendant 3 ans, elle va apprendre son métier et rencontrer de nombreuses personnes. « J’ai réalisé la difficulté de se faire une place dans ce milieu quand on ne vient pas de Paris. Tout était à faire. C’était décourageant parfois mais je n’avais pas de plan B alors je me suis accrochée », confie la jeune femme. Sa ténacité paye et Jeanne réalise de nombreux stages et shootings.
Un projet de c½ur
Elle se crée son réseau et à la sortie de l’école, elle signe dans sa première agence puis sa première campagne. Elle installe en parallèle un studio chez elle. « La photographie est comme un sport. Il faut sans cesse s’entraîner et toujours se fixer de nouveaux objectifs. » Si Jeanne se destinait à la photo de mode à ses débuts, ses appétences ont évolué depuis. « Je prends beaucoup de plaisir à photographier plein de choses. L’important est d’apporter son regard à tout ce que l’on photographie », argumente-t-elle. C’est ce qu’elle fait depuis qu’elle a rejoint l’agence Denise et qu’elle a entamé un projet plus personnel autour de la jeunesse. C’est d’ailleurs cette thématique qu’elle propose à Philippe Guionie quand elle apprend qu’il a pris la direction de la Villa Pérochon. « Nous étions toujours restés en contact. Sachant la volonté de Philippe d’ouvrir la Villa aux jeunes, c’était l’occasion ! » Le projet est lancé en juin 2024. Son idée : montrer la jeunesse niortaise sur trois ans. « Partir à la rencontre des jeunes de ma ville natale, c’est passionnant. Je suis une vingtaine de Niortais âgés de 14 à 18 ans. C’est peut-être la période où on change le plus. Je les photographie chez eux, seuls mais aussi avec leurs amis et leurs familles. Je veux rentrer dans leur histoire, capter leurs rêves, leurs ambitions. On s’intéresse toujours à la jeunesse dans les grandes villes mais celle des villes moyennes mérite aussi d’être valorisée. » Les premiers travaux seront exposés lors d’un vernissage samedi 12 avril à l’occasion des Rencontres de la jeune photographie internationale. À terme, Jeanne aimerait pourquoi pas décliner cette commande en livre. Affaire à suivre…
Jeanne Lucas est toujours à la recherche de modèles. Si vous avez entre 14 et 18 ans et que l’aventure vous tente, contactez la Villa Pérochon au 05 49 24 58 18.
Les ½uvres produites, dessins, messages, photos et grafs, seront exposées de façon temporaire entre mars et mai, pour une durée d’un mois maximum, au square Clouzot ou encore au Centre Du Guesclin, avec pour objectif de sensibiliser et interpeller les passants en mettant en valeur les comportements élémentaires à mettre en pratique ou à éviter.
Place Jacques de Liniers, un graf incitant au civisme a été réalisé sur un mur et sera visible de manière permanente.
Niort Agglo vous propose des solutions pour trier vos déchets :
- des poubelles jaunes individuelles pour le tri des emballages ménagers et des papiers,
- des bornes d’apports volontaires pour les emballages ménagers, le papier et le verre,
- des composteurs individuels ou composteurs collectifs pour les biodéchets (déchets verts et déchets de cuisine),
- une collecte en porte-à-porte des biodéchets à Niort (hors hyper-centre),
- une collecte en porte-à-porte sur rendez-vous pour les objets volumineux, du type sommiers, gros électroménagers (gazinière, frigo, lave-linge…).
Le réseau de déchèteries vous accueille également gratuitement avec votre carte d’accès (24 passages annuels), sur tout le territoire, pour déposer vos déchets ménagers non collectés en proximité.
Pour plus d’infos : www.agglo-niort.fr ou contactez le service déchets ménagers de Niort Agglo (PREVALEC) : 0 800 33 54 68. service.dechet@agglo-niort.fr
Aux Restos du C½ur 79, Véronique et Solange, salariées respectivement du groupe COVEA et de MAIF, se sont toutes deux portées volontaires, dans le cadre de retraites progressives. « Chef de projet informatique, j’ai apporté aux Restos des compétences en communication, notamment. J’ai découvert la diversité de leur action, bien au-delà de la stricte solidarité alimentaire. À la retraite depuis janvier, je continue aujourd’hui en tant que bénévole, » témoigne Véronique. Solange, quant à elle, est actuellement détachée un jour par semaine : « Je ne me voyais pas arrêter toute activité subitement. Cet aménagement de fin de carrière allège la pression professionnelle et permet de découvrir comment rester actif autrement. » A noter que le mécénat n'est pas uniquement destiné aux salariés en fin de carrière mais à tous les salariés. Il peut être par exemple être un outil de remotivation pour une personne en milieu de carrière qui ressent une lassitude sur son poste de travail ou dans l'entreprise.
Cette offre vient compléter les différentes actions de promotion du sport menées par la Ville de Niort dont l’intervention d’associations sportives dans le cadre périscolaire et l’ANIOS (Activités niortaises d’Initiation et d’Orientations sportives) qui permet aux 6-18 ans de tester de nombreux sports à moindre coût.
Communes : Aiffres , Bessines , Chauray , Coulon , Échiré , Magné , Saint-Gelais , Saint-Rémy , Saint-Symphorien , Sciecq , Vouillé
Quartiers de la commune : Saint-Liguaire , Centre-ville , Nord , Souché , Champclairot - Goise - Champommier , Saint-Florent , Clou Bouchet , Tour Chabot - Gavacherie , Ste-Pezenne